La ville apparait sous un aspect nouveau et captivant auquel font écho les visions subtilement déréglées de JM, où les proportions vacillent et construisent une cité qui semble asséchée, comme un bois mort sur le point de rompre.
« Visions subtilement déréglées, où les proportions vacillent et construisent un monde qui semble asséchée, comme un bois mort sur le point de rompre. »
Thomas Schlesser, Art Tension mars 2010
Plus familiers semblent les tableaux de Judith Marin. Mais, en réalité, il s’agit d’un paysage urbain fantomatique, tantôt des constructions immenses et squelettiques, proches des échafaudages, tantôt des villes faiblement éclairées, vidées de leurs habitants.
Itzhak Golberg, comissaire de l’exposition